Oops ! (Libre)

Je marchais tranquillement sans me soucier où j'allais. J'avais envie de m'amuser aujourd'hui ! Je marchais alors tout droit ayant échapper a la protection des membres de mon groupe oui même si je n'ai pas de parents les membres de ma tribu me surveille car je suis capable d'attirer toute sorte d'ennui a mon clan ou a moi même tout simplement ! Quand soudain je me stoppa net et je regarda autour de moi cela me paraissait vachement plus, sympathique pour être les terres de mon clan ! Quand je leva la tête je vis l'énome rocher, le rocher de la fiertée, quand je me rendu compte alors que j'étais en terre ennemis. Pris eun peu par la panique, je me mit acourrir dans le chemin inverse, mes la haute savane m'empêchais de voir où j'allais exactement. Et si je tombes sur un lion ? Ou une lionne ennemie ? uUand je percuta quelque chose ou quelqu'un, je leva la tête et aperçut une personne je recula de peur et m'abaissa, les oreilles baissé je regardais la personne, qu'allait-elle me faire ?

Eden.

Le regard rivé au loin, je grognais. Je ne pouvais m'empêcher de penser à Vitani, à ce qu'elle avait fait. L'embuscade de la dernière fois m'avait d'ailleurs laissé des cicatrices, qui j'espère partiront à la longue. Mais si il n'y avait que ça. Je ne savais plus quoi penser, et j'avais grandement besoin de me changer les idées. C'est pour cela que je m'étais dirigé vers la savane, espérant que la chasse me ferai oublier le reste. De plus, le temps était parfait pour cela. Le soleil était à son zénith et j'étais quasi sûr de trouver des gazelles près du point d'eau. Je m'y rendais donc, à pas légers.

Effectivement, je pouvais apercevoir au loin des animaux en train de se désaltérer. Je visais un zèbre qui était un peu éloigné du groupe. Je me tapissais dans les hautes herbes, faisant corps avec la terre. Je m'apprêtais à passer à l'attaque, quand une chose me percuta sur le flan. Je fis volte face, et fixais cette "chose" en grognant. C'était en fait un lionceau, mais j'avais beau chercher, je ne l'avais jamais vu par ici. Et vu la façon dont elle s'était positionné, je doutais qu'elle fasse partie de nos terres.

« Tu devrais retourner d'où tu viens. »

Dis-je d'un ton sec.

La personne que je vennais de percuter se releva me fixa longuement comme pour m'identifier et je reconut a cet instant précis le fils de Kiara et Kovu, je me remis normal il me dit d'u nton sec de partir, même si il est plus grand plus fort et tout le reste je m'en fiches ! Il ne me ferais aucun mal tout de même ! Si ? Je le regarda et lui répondut aussi sec :

« Et si je refuse !»

Ouhh ! Je jouait avec le danger là Il suffisait qu'il me donen un coup de patte bien placé pour en terminer.

Je grognais. Ma tolérance était à 0 depuis l'embuscade. Mais j'avais tout de même des principes, et je ne ferai pas de mal à cette petite, mise à part lui faire peur. Je m'attaquais aux lions de mon âge moi.

« Je t'ai dis de partir. Tu n'as pas ta place ici, tu es banni comme les autres. Retournes d'où tu viens. »

Lui adressais-je froidement. Ce n'était que de la provocation, après tout, pourquoi viendrait-elle ici alors que sa place est parmi les exclus ? Elle voulait simplement tester mes limites. Ou peut-être était-ce un autre piège de Chukara. Mais non, j'en doutais. Je fixais le lionceau, sourcils froncés. Je n'étais vraiment pas d'humeur pour ce genre de futilité.

« Maintenant, pars d'ici, et ne revient plus ! »

Dis-je plus fort, une once de méchanceté dans la voix.

« Maintenant, pars d'ici, et ne revient plus ! »

Non mais ! il n'a certainement pas le droit de me commander aprés tout je fais ce que je veux enfin on je ne suis pas en mes terres. Je regardais le lion, au fond de moi oui j'avais peur mais je ne le montrait, pas et pour montrer ma détermination au lion je m'assis sur le sol le regarda et dit plus gentillement :

« Ma place n'est pas là-ba snon plus.»

Enfaite où est ma vraie place ? Je n'ai plus de parents vers qui me tourner je ne sais pas a qui j'appartiens vraiment, j'ajouta a ma phrase :

« Mais va s'y tue moi si ca te fais plaisir !»

Je regardais la petite lionne s'assoir devant moi. Apparemment elle, elle savait ce qu'elle voulait. Elle insinua que sa place n'était pas non plus sur les terres interdites.

« Si tu a été élevée avec eux, alors oui ta place se trouve là bas. Sinon, tu n'as qu'à aller sur les terres neutres. »

Dis-je, toujours froidement. Après tout, je n'allais pas lui faire de manière, même si elle était encore jeune. Habituellement, j'aurai peut-être été plus compréhensif. Mais, depuis "l'incident" je n'étais plus tout à fait le même.

« Mais va s'y tue moi si ca te fais plaisir !»

Je ne pu m'empêcher de rire. La tuer ? Nous n'étions pas comme ça sur la terre des lions. Nous ne fonctionnons pas comme les terres interdites, comme des lions sanguinaires et sans scrupule.

« Je ne te tuerai pas. Pourquoi le ferais-je ? Je te demande simplement de partir, tu ne fais pas parti de la terre des lions, respecte le. Et si tu ne veux pas retourner d'où tu viens, tu n'as qu'à aller sur les terres neutres. Là bas, ils ne prennent aucun partie. »

« Je ne te tuerai pas. Pourquoi le ferais-je ? Je te demande simplement de partir, tu ne fais pas parti de la terre des lions, respecte le. Et si tu ne veux pas retourner d'où tu viens, tu n'as qu'à aller sur les terres neutres. Là bas, ils ne prennent aucun partie. »

Dit il en ce mettant a rie, je le regardais bizarement, je me releva j'avais moi les larmes aux yeux, comment peut-il dire que j'ai était elevée à bas alors que mes parrents faisait partis de la terre des lion mais que ma mére et morte en me donnant la vie et que mon pére lui est mort en ce battant pour ma vie te que je n'ai pas eut le choix de vivre parmis les exclus, je regardais le lion avec le slarmes aux yeux qui commencait a perlée son mon pelage :

« Comment peux-tu dire que j'ai était elevée là bas alors que je viens d'ici ! Toi tu as tes parrents toi tu as eu le choix de vivre moi je n'ai pas eu ce choix là ! Je suis peut être petite mais pas idiote ! Ma mére est morte pour me donner la vie et mon pére c'est battu pour que je vive je n'ai pas eu le choix de vivre là ba s! Mais biensur ici ca vous ait égale !»

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